Mmmmh, qu'est-ce que je vais faire de mes 10 doigts aujourd'hui ?... (bon ok, 5 doigts. Rabat-joie !)
Et si je sortais mon calepin de recettes de cuisine ?
Vous me connaissez, en cuisine, j'aime bien les choses simples. Et quoi de plus enfantin qu'un gâteau au yaourt ? C'est pas un incontournable des ateliers cuisine avec les mômes pour rien : pas de mesure à effectuer, pas d’œufs à séparer, pas d'ingrédients difficiles à trouver, pas de batteur ou de mixeur dangereux qui font du bruit.
Donc aujourd'hui, j'viens
vous livrer ma recette idéale, trouvée après plein de tests, re-tests et
modifications. Oui, j'ai le sens du dévouement ! ^^
Prenez un
yaourt nature, versez-le dans un saladier. Versez 3 pots de farine, 2 de
sucre, 2 œufs entiers, 1/2 pot d'huile, 1 sachet de sucre vanillé et
1/2 sachet de levure chimique. Mélangez au fur et à mesure.
Rajoutez un pot d'amande en poudre, une pomme coupée en morceaux et si vous êtes un peu foufous, vous pouvez en mettre deux. Et pour ceux qui n'ont vraiment peur de rien, versez une goutte ou deux d’arôme naturel d'amandes amères.
Le tout versé dans un moule fariné et zou, 40 minutes dans un four préchauffé à 180°.
C'est moelleux, c'est doré, c'est bonheur !
En ce moment, c'est un peu l’opulence niveau fruits rouges dans le jardin familial. Même si c'est tentant, je ne peux me nourrir exclusivement de clafoutis.
Je voulais donc me faire une bonne quantité de compote. Approximativement, j'ai donc mis 350 g de framboises, 100g de groseilles, deux pommes et deux pêches dans ma cocotte. Approximativement encore, j'ai saupoudré de sucre, un peu plus que d'habitude pour contrer l'acidité des groseilles. Et pour finir, approximativement, j'ai rajouté un fond d'eau... mais dès les premières minutes de cuisson, je me suis rendu compte que j'avais mis beaucoup trop d'eau...
Je voulais donc me faire une bonne quantité de compote. Approximativement, j'ai donc mis 350 g de framboises, 100g de groseilles, deux pommes et deux pêches dans ma cocotte. Approximativement encore, j'ai saupoudré de sucre, un peu plus que d'habitude pour contrer l'acidité des groseilles. Et pour finir, approximativement, j'ai rajouté un fond d'eau... mais dès les premières minutes de cuisson, je me suis rendu compte que j'avais mis beaucoup trop d'eau...
Et ainsi, la compote devient coulis.
Il y a des erreurs qui sont parfois très sympathiques et ce coulis, je l'ai trouvé fort sympathique avec mon fromage blanc ou ma salade de fruits pomme-pêche. J'ai adoré la glace à la vanille noyée dans le coulis, avec quelques framboises et de la chantilly... et tout ce qui peut être noyé dans le coulis d'ailleurs, y compris le gâteau au yaourt.
Ce qu'il y a de bien avec le coulis, c'est qu'il suffit d'avoir une cuillère pour pouvoir écrire tout ce qu'on veut et laisser des petits mots dans l'assiette. Inscrire ce qui vous passe par la tête. Moi, c'était tout trouvé :)
Bon appétit les amis !!
Sinon dans les dernières nouvelles, j'ai basculé du côté obscur du smartphone.
- J'ai commencé à jouer à Candy Crush pour occuper le temps dans les salles d'attente de médecin, kiné et autres joyeusetés. J'assume moyen et j'avoue, je suis à deux doigts d'aller m'inscrire au Candy Crusheurs Anonymes (si ça n'existe pas, ça devrait être inventé !).
- J'ai cédé aux sirènes de la tentation d'Instagram... Alors que j'avais juré devant tous les dieux que non, je n'aimais pas faire de photo avec mon téléphone, que rien ne valait mon appareil photo, que je préférais avoir le temps de la réflexion, de l'analyse plutôt que de publier à la va-vite. Finalement, je me suis rendu compte que l'un n'empêchait pas l'autre et plutôt que de dire que je suis faible, je dirais qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (que j'aime ce dicton !). Bref, si vous me cherchez, je suis là-bas :)
- J'ai commencé à jouer à Candy Crush pour occuper le temps dans les salles d'attente de médecin, kiné et autres joyeusetés. J'assume moyen et j'avoue, je suis à deux doigts d'aller m'inscrire au Candy Crusheurs Anonymes (si ça n'existe pas, ça devrait être inventé !).
- J'ai cédé aux sirènes de la tentation d'Instagram... Alors que j'avais juré devant tous les dieux que non, je n'aimais pas faire de photo avec mon téléphone, que rien ne valait mon appareil photo, que je préférais avoir le temps de la réflexion, de l'analyse plutôt que de publier à la va-vite. Finalement, je me suis rendu compte que l'un n'empêchait pas l'autre et plutôt que de dire que je suis faible, je dirais qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (que j'aime ce dicton !). Bref, si vous me cherchez, je suis là-bas :)
mais je reste ici aussi, évidemment, je suis bien trop bavarde... :)